Récépissé N°0022/HAAC/12-2020/pL/P, lepointactu07@gmail.com

Société

A 41 ans il viole la fillette de 08 ans de son ami


Violences faites aux femmes notamment agressions sexuelles, viols, mariage forcé, mutilations génitales sont sévèrement réprimées, une condamnation de la société dans son ensemble. Depuis 2021, selon les informations, la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (Criet), au Bénin, s’occupe aussi de ces infractions d’ordre social. Lundi dernier, un malfaiteur pris en flagrant délit et qui croupissait en prison depuis quelques années en a eu pour son compte.


En effet, la juridiction a démarré lundi à Porto-Novo sa première session criminelle de l’année. « « Treize dossiers au total », informe-t-on ont meublé la journée de lundi où il y a eu la condamnation à 30 ans de réclusion criminelle d’un homme de 41 ans, coupable du crime de viol sur mineure de moins de treize ans. « Mario Metonou, procureur spécial de la Criet, faisait office de ministère public à l’audience tenue lundi à huis clos. Il a requis 30 ans de prison contre le violeur âgé de 41 ans, un ami du père de la victime de surcroit. Il sera suivi par la cour présidée par une femme », rapporte-on.
Si dans un premier temps à l’audience le violeur a nié les faits il finira d’être confondu par l’implacable certificat médical et la pression de son avocat agacé l’a poussé à avouer.


Le condamné est en détention depuis 2019, il est retourné dans sa cellule où il restera encore 25 ans en principe après donc cette décision de condamnation.
Circonstances de l’affaire
Selon les informations, la victime M. n’avait que 8 ans au moment des faits en 2019. Elle a été violée une nuit sur un terrain vide. Son agresseur va profiter d’une réjouissance familiale pour éloigner l’enfant en l’attirant avec un biscuit. C’est la maman de M., à la recherche de sa fille disparue, qui va surprendre l’accusé.
Appel à plus de vigilance des parents sur les enfants car chacun et sa famille sont plus exposés au danger par les amis que par des citoyens ordinaires.

Ali Legrand

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